Depuis les jeux Olympiques de 1968 à Mexico (plus de 2000 mètres d’altitude), de nombreux athlètes ont pris en compte l’intérêt d’une préparation en altitude.
Au-delà de la qualité de l’air disposant d’un degré de pollution moindre, c’est la physiologie à l’effort qui a permis de démontrer les bienfaits de telles préparations sur le corps des sportifs. Ainsi et depuis plus d’un demi-siècle, nombreux sont les athlètes qui optent pour un stage d’oxygénation au-dessus de 1500 mètres d’altitude.
Ces stages sportifs en altitude sont devenus légion du coté de Font-Romeu. Au-delà de la présence du Centre National d’Entrainement en Altitude (partie intégrante du Grand Insep en vue des JO 2024), ce sont aussi les qualités climatiques reconnues du territoire qui ont déjà convaincu de nombreuses fédérations, clubs et autres groupes de sportifs de haut niveau.
Les clubs français de Top 14, les athlètes de demi-fond du monde entier (De Paula Rdacliffe à Mo Farah entre autres), les équipes internationales de biathlon et ski de fond (France, Norvège, Suède, Allemagne…) pour leurs stages estivaux, les élites du triathlon mondial (France, Norvège,…), les nageurs des pôles nationaux, sont entre autres les illustrations de l’intérêt d’une préparation en altitude.
Les bienfaits de l’altitude sur la santé
Altitude et globules rouges
Si autant de sportifs ont fait le choix d’altitude pour leur préparation, il y a bien évidemment des raisons physiologiques prouvées.
La première est l’augmentation des globules rouges et donc de la capacité du sang à transporter de l’oxygène ce qui est fondamental pour un sportif.
Par ailleurs, cela engendre un gain de force via une hypertrophie des muscles qui de ce fait deviennent plus résistants à l’effort.
D’une manière générale, les tissus musculaires étant mieux irrigués, ils sont plus productifs et ont un meilleur rendement à l’effort tant sur les disciplines d’endurance (trail, triathlon, ski nordique…) que celles sollicitant la puissance (rugby, ski alpin,…).
Performances sportives et altitudes
Il apparait donc un intérêt réel pour les équipes et sportifs individuels de prendre le temps pour ce type de stages au-dessus de 1500 mètres d’altitude. Cela est d’autant plus bénéfique sur des durées supérieures à 10 jours car il faut le temps d’une acclimatation à l’effort en altitude.
Idéalement des stages de 3 semaines sont recommandés surtout pour les sports tels que le triathlon (en témoigne le récent champion olympique de Tokyo, Kristian Blumenfeldt), le biathlon, le ski nordique, la natation ou encore l’athlétisme.
Stage sportif en centre d’entraînement en altitude
Alors, quelle destination choisir pour son stage d’oxygénation ?
Au-delà de l’altitude, il convient de trouver la proximité des infrastructures sportives ainsi que la diversité des pratiques dans un environnement pédestre. Un climat clément s’avère déterminant pour les disciplines extérieures également.
Dès lors, un stage sportif dans la ville de Font Romeu et son Centre National d’Entrainement en Altitude perché à 1900 mètres d’altitude s’avèrent être une destination de choix.
Cela est d’autant plus vrai au regard de la vie qui y existe toute l’année (hébergements, services, lycée climatique et université) ainsi que de la perspective des JO de Paris 2024 avec de nombreux investissements induits.
Et comment ne pas citer les 300 jours d’ensoleillement annuel qui viennent compléter l’argumentaire de cette destination aux côtés d’une agence PMD dévouée et dont les dirigeants sont des sportifs passionnés.